BENEVENT-L'ABBAYE : le pèlerin et son cheval

        Les pèlerins voyagent généralement à pieds, souvent à vélo, parfois accompagnés d’un chien, d’un âne ou d’un cheval.
         Celui-ci avait un cheval. Un grand cheval blanc et roux. Il était là surtout pour porter la tante et les quelques bagages du pèlerin.
         Bien sûr il attirait l’attention de par sa taille et les teintes peu communes de sa robe blanche et caramel, cheval d'une race américaine nous a-il dit mais j'ai oublié laquelle...

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BENEVENT-L'ABBAYE : visite du chardonneret

             Ce joli oiseau est venu pendant deux jours seulement se poser quasiment toute la journée sur le tuteur d’un arbuste devant la maison… puis il n’est plus revenu (peut-être parce que les pèlerins se faisant plus nombreux, il a voulu se tenir plus à distance !) Mais nous avons continué d’entendre son agréable chant quand il se pose sur les toits, les murets de l’église, les antennes râteaux...
         Les chardonnerets élégants sont parés de belles couleurs : rouge autour de leurs yeux,  jaune sur quelques plumes de leurs ailes...

        Il devrait son nom au fait qu'il se nourrissait essentiellement sur les chardons.

 

 

Infos complètes :

http://www.oiseaux.net/oiseaux/chardonneret.elegant.html

 

Ici vous pouvez voir (et écouter !) des vidéos de chardonnerets élégants au si joli chant :

http://video.express.over-blog.com/2014/09/chardonnerets-elegants-sur-les-fleurs-video.html


BENEVENT-L'ABBAYE, les vaches dans la neige

        Les vaches rousses de Bénévent l'Abbaye, comme dans d'autres régions, sont dans les prés enneigés. Brunes ou beiges, tachetées ou unies (il y en a de plusieurs races même si la majorité sont caramel de race limousine), elles font comme si elles broutaient mais je suppose qu'elles doivent d'abord avoir à déneiger... peut-être la chaleur émise par leurs naseaux ? En tout cas, elles ne semblent pas être perturbées par le froid et la neige. C'est aussi peut-être pour ça qu'elles font de la  bonne viande ?
           Bravo les vaches !

PS : La clé du "mystère" pour les vaches dans la neige : elles n'ont pas besoin de déneiger pour manger... car les paysans passent une grande partie de leurs journées hivernales à apporter du foins à ces belles aux champs...


BENEVENT-L'ABBAYE, "Ils vont bientôt revenir"

 

 

 

 

 

       Nous avons habité en face d’une église et en avons le souvenir de belles images… entr’autres ce chien qui attendait tranquillement que sa famille ait terminé sa visite de l’abbatiale. Il est resté ainsi à regarder tranquillement autour de lui, dans l’église, confiant.


BENEVENT L'ABBAYE, les choucas

            A bénévent l’Abbaye tout autour de l’église vivaient de nombreux choucas. Comme on peut le voir sur les photos, les amoureux aimaient bien les cheminées, les solitaires les corniches de l’église pour une faire une petite sieste….
            Ce bel oiseau noir de la famille des corvidés porte plusieurs noms : choucas des tours, corneille des clochers, corbeau choucas et le plus joli que je ne connaissais pas : chochotte


Bénévent l’Abbaye, les merleaux (merlots) au nid)

        En ouvrant la porte de la maison pour en sortir, on voyait souvent une merlette s’envoler mais comme les oiseaux sont plutôt familier, on n’y a pas particulièrement prêté cas, sauf pour être ravis de sa présence.
        Il faut dire que sur la gauche de la porte il y un grand jasmin d’hiver (celui aux fleurs jaune et non parfumées). En y regardant mieux, on a eu le plaisir de découvrir un nid avec ses oisillons… Toute la famille est restée là le temps nécessaire à l’envol des petits. Le nid est toujours là. Je ne sais pas si les merles reviennent dans leur ancien nid ou non, on verra ça au printemps !


BENEVENT-L'ABBAYE, l'âne du pèlerin

        C’est comme ça quand on habite sur une route de pèlerinage, parfois on voit de drôles d’équipage : pèlerin avec un cheval, avec un vélo spécifiquement équipé, avec une sorte de chariot comme ceux utilisés pour le ménage mais organisé pour éviter de la fatigue au très jeune enfant (5 ou 6 ans) d’une pèlerine un peu kamikaze… d’autres encore et bien sûr, le pèlerin et son âne.
         Celui-ci est arrivé en fin d’après-midi, a installé sa tante sur l’herbe à côté de l’église, a attaché son âne à un arbre, lui a donné à boire et à mangé. Je n’ai pas tout suivi, ç’aurait été indiscret. Il a “levé l’ancre” en milieu de mâtinée.
          Tous deux ont repris la route de Saint Jacques de Compostelle…


Bridiers, les chèvres de Rove

           Nous avons rencontré quelques unes de ces belles chèvres au cours d’une visite de la Tour de Bridiers et ses proches alentours (proche de La souterraine).
           Leurs longues cornes élargies à la base et torsadées ainsi que leur relativement grandes oreilles leur donnent un visage particulier. Elles circulent librement en broutant et regardant passer les gens.
        Bien qu’originaires de Provence (Rove est proche de Marseille), leur rusticité leur permet de s’adapter facilement en d’autres lieux et sous d’autres climats). Dans le sud elle est réputée pour la qualité de son lait dont on fait un excellant fromage : la brousse de Rove. je ne sais pas si quelqu’un ou une en Creuse s’est intéressé(e) à ce formage qui est délicieux.       


Crosan, le grand lézard vert

        Au cours de la même visite  à Crosan durant laquelle nous avons rencontré les chères, nous avons vu cet énorme lézard (on ne peut malheureusement pas apprécier sa taille avec cette photo mais je doute qu’il serait resté tranquillement là si nous avions voulu l’approcher et poser notre main à côté de lui pour montrer les proportions !) Non seulement il était plutôt grand mais avait un ventre bien rond. Je suppose qu’ici il a tout loisir de bien se nourrir et digérer en paix.


Crosan, les chèvres

        Une promenade parmi les vestiges de Crosan est toujours très agréable et l’on y
découvre chaque fois des choses que l’on n’avait pas remarquées lors des précédents passages….
        Mais cette fois-ci, la découverte fut un petit troupeau de chèvres chargées de l’entretien de l’herbage. Et ces dames et demoiselles sont tout autant aimables qu’efficaces dans leur “travail” ! Elles déambulent en toute liberté, se reposent, font de l’escalade (comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous).
        Une bonne et plaisante initiative de la part des personnes gérant ce beau site !


MASGOT, le chat sur le mur

 

 

           C’est en visitant le village sculpté de Masgot en Creuse que nous avons croisé ce très beau chat, bien installé sur le mur de pierres, méditant devant le calme paysage, à peine dérangé par quelques promeneurs.
            On aurait presque pu le confondre avec l’une des multiples sculptures ornant de nombreuses maisons du village !


MOUTIER D'AHUN, les chiens près du pont roman

 

 

            Nous n’étions pas venus ici pour regarder des chiens mais ces deux-là avaient un tel plaisir à jouer dans l’eau avec leur maître que nous sommes restés un moment à les regarder et je les ai photographiés, on auraient cru qu’ils riaient !
            (Ce beau pont est le pont roman de Moutier d’Ahun où il faut également visiter le l’église abbatiale)


SAINT-DIZIER-LEYRENNE, ruminons ensemble

 

        Les belles vaches rousses creusoises avec les museaux roses et yeux noirs entourés de blanc. Elles ont les cornes coupées et cela leur enlève un peu de leur superbe…
        Mais il faut les voir dans les prés, vaches et veaux,  regroupés, paissant de concert. Parfois certains s’éloignent un peu (pour fuir les ragots ?). Tout le monde broute, déambule placidement, elles et ils sommeillent et surtout…. ruminent ! toutes et tous  ensemble.


SAINT DIZIER-LEYRENNE, coccinelle noire, harmonie axyridis

 

        Je ne savais pas qu’il existe des coccinelles noires…. je les croyais toutes rouges avec points noirs…. Mais non !
        Celle-ci a donc été photographiée à Saint-Dizier-Leyrenne, en Creuse.
        Comme leurs cousines rouges, elles portent elles aussi des points mais, bien-sûr, rouges.
        Son joli nom latin est harmoria axyridis. Elle a été importée de Chine en 1980 (mais se trouve également au Japon et dans l’est de la Russie) pour sa voracité, sachant que son plat préféré est : pucerons. Mais, ce qui n’était pas envisagé au départ, est sa prolifération au détriment des espèces autochtones…. Toujours est-il qu’elle est maintenant là, sous diverses couleurs, formes, dimensions et nombre de points et que nos “cacarinettes’ ont bien survécu !.
        Comme ses consœurs, elle est très jolie et porte sûrement  bonheur !